À DEFINIR
Si la fusion devait être acceptée le 14 juin, Crans-Montana aura un tout autre visage politique que celui des quatre communes actuelles. Présentation des enjeux.
Plutôt onze conseillers
que neuf
Le projet présenté pour la fusion propose un Conseil à neuf. Au moment de passer à la version définitive du contrat de fusion, il se pourrait bien que le nombre s'élève à onze. Au sein des différentes forces politiques en présence dans les quatre communes, les avis sont très partagés.
Pour les PLR, Johnny Glettig défend clairement un nombre restreint de conseillers. "Neuf est un bon chiffre. C'est la compétence qui prime." Les arguments sont les mêmes du côté de la nouvelle section de l'UDC Crans-Montana et son président Enzo Colagioa. "On doit avoir plus de professionnalisme. Pour un nouveau parti comme le nôtre, le choix de onze nous donnerait peut-être plus de chances d'avoir un représentant, mais...