Il a déjà aligné 47 dates en première partie de la tournée mondiale de Shania Twain. Et sillonné les USA, le Canada, le Brésil, joué devant des foules allant jusqu’à 100 000 personnes... Mais ce samedi, c’était à Crans-Montana que Bastian Baker se produisait, en solo comme la plupart du temps actuellement. «J’adore avoir la puissance du groupe, mais jouer seul, c’est spécial. Un peu comme pour un DJ. Tu peux sentir l’ambiance, ralentir, jouer le morceau que le public attend sur le moment...»
Ce moment, justement, c’était celui de la première édition du Sublime Festival, co-fondé par son manager et ami Raphaël Nanchen. Celui qui était parmi les fondateurs du Caprices Festival et a cru en lui depuis le début. «C’était important pour moi d’être ici. Comme pour 77 Bombay Street qui s’est reformé pour l’occasion. Ça montre bien l’amitié qui nous lie.» C’était aussi pour le chanteur un retour aux sources, car pour lui tout à commencé sur le Haut-Plateau, à Caprices. Juste avant de sortir son nouveau single et s’apprête à prendre un essor mondial.