Gérard Clivaz avait promis à ses proches de raccrocher au 31 décembre 2016. La date avait même été inscrite dans le calendrier familial. Promesse tenue. Après huit années de Conseil et huit autres de présidence de la commune de Venthône. Le départ a provoqué un pincement au cœur «mais c’est surtout l’occasion de tourner la page et d’en écrire de nouvelles».
Le dossier phare a été celui du home interrégional. Un dossier qu’il a fallu sept ans pour concrétiser, comment l’expliquez-vous?
Il a fallu engager une réflexion sur le lieu, établir un cahier des charges, organiser un concours d’architectes et fournir un chiffre estimatif du financement auquel plusieurs autres communes et le canton prennent part. De nombreuses décisions ont également dû être votées en assemblée primaire notamment sur l’achat des terrains et le financement du parking souterrain. Toutes ces étapes et les négociations qu’elles ont engendrées expliquent la longueur relative...