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Cyclisme: cinq stations valaisannes sont candidates à l'organisation d'une étape

Il y a celles - Verbier, Finhaut et Crans-Montana - qui aimeraient retrouver le Tour de France. Et il y a les autres - Champex et Champéry - qui ambitionnent, à leur tour, d'organiser une étape. Les points forts et les points faibles de chacune d'elles.

02 juil. 2019, 18:00
Sébastien Reichenbach lors de l'ascension sur Finhaut en 2016. La station de la Vallée du Trient espère bien retrouver rapidement le Tour de France.

Finhaut: il reviendra un jour, c’est sûr

«Cette arrivée à Finhaut ne restera pas unique.» La promesse, dans la bouche de Christian Prudhomme, le patron du Tour de France, n’est pas une parole en l’air. Le Tour reviendra au sommet du barrage d’Emosson. Reste à savoir quand. «Finhaut a l’expérience d’une édition réussie en 2016», apprécie Steve Morabito. «Le cadre est idyllique, l’ascension est magnifique. Il y a aussi la proximité avec la France. C’est une grande étape de montagne. Le label «Route du Tour» crédibilise aussi cette arrivée.»

Le point faible de cette candidature, c’est peut-être l’accès pour les spectateurs. «En transports publics, c’est limité», confirme-t-il. «Ils doivent se débrouiller, idéalement à vélo. La capacité hôtelière est restreinte. Une arrivée en cul-de-sac, c’est toujours délicat.»

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Verbier: la station n’est plus un cul-de-sac

Sportivement, les sept...

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