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Une ligne sous haute «pression»

Un ingénieur italien qui fait marche arrière, une société suisse qui nous contacte spontanément pour présenter sa technologie de câblage souterrain avant d'annuler un rendez-vous: la nécessité d'une étude neutre devient criante dans le dossier Alpiq de la ligne Chamoson - Chippis.

16 sept. 2010, 05:01

A entendre Alpiq, aucun projet de ligne à très haute tension comparable à celui prévu entre Chamoson et Chippis n'existerait donc sur notre planète (voir dans cette page la réponse d'Alpiq).

S'il est vrai que chaque réalisation est, par définition, différente dans les détails, la technologie italienne évoquée dans un précédent article reste tout à fait comparable. Dans les deux cas, on parle bien de lignes de 380 kV et de milliers de MW au total. On peut toujours ergoter. Il n'en demeure pas moins que l'ingénieur en chef, responsable du département des câbles à haute tension d'un grand groupe mondial italien, a confirmé début septembre que l'enterrement du projet valaisan était, a priori, tout à fait réalisable techniquement, ajoutant même que les aspects sanitaires s'en trouveraient améliorés.

Le savoir-faire existe...

Suite à cet article, un autre groupe du secteur des câbles à haute tension s'est adressé spontanément au «Nouvelliste»....

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