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Les travaux sont terminés

Les installations de Cleuson-Dixence viennent de redémarrer. Maintenant, Alpiq a besoin d'une ligne à haute tension pour livrer les 1200 mégawatts de production de l'usine de Bieudron. Et ne veut pas d'une ligne enterrée...

28 janv. 2010, 05:01

Les installations de Cleuson-Dixence viennent d'être remises en service, a annoncé hier la société propriétaire, Alpiq.

365 millions de travaux

La production avait été interrompue le 12 décembre 2000, au moment de la rupture du puits blindé reliant le barrage de la Grande-Dixence à la centrale de Bieudron.

La reconstruction a duré quatre ans et demi et a été suivie par six mois de tests. Elle aura coûté 365 millions de francs et nécessité le travail de 600 collaborateurs et la livraison, depuis Linz en Autriche, de 1360 viroles, composées de 12 500 tonnes d'acier.

De l'énergie de superpointe

La remise en service de l'usine de Bieudron apporte une production de 1200 mégawatts. Cette électricité est extrêmement intéressante, puisqu'elle peut être mise sur le marché dans les périodes de pics de demande, ce que l'on appelle la superpointe. «Cela double la flexibilité de l'aménagement de la Grande Dixence», note Michael...

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