Votre publicité ici avec IMPACT_medias

Chippis: le bâtiment de l’ancienne poste sera remis à neuf

Les citoyens de Chippis ont accepté lors de leur assemblée primaire un crédit d’engagement d’un million de francs destiné à la rénovation du bâtiment de l’ancienne poste.

23 déc. 2019, 12:00
Les citoyens de Chippis ont accepté lors de leur assemblée primaire un crédit d’engagement d’un million de francs destiné à la rénovation du bâtiment de l’ancienne poste.

Le bâtiment de l’ancienne poste de Chippis s’apprête à écrire une nouvelle page de son histoire. Lors de leur assemblée primaire, les citoyens ont accepté un crédit d’engagement d’un million de francs destiné à la rénovation de cette bâtisse des années 30 située à l’entrée du village. «Les travaux concernent les deux étages supérieurs, qui seront affectés à de la location. Des discussions ont été lancées avec la HES-SO afin que des étudiants puissent y loger», indique Olivier Perruchoud, président de Chippis. 

Une nouvelle passerelle sur la Navizence

Le budget 2020 de la commune présente une marge d’autofinancement de 278 200 francs pour des investissements de 798 000 francs. Il devrait ainsi en résulter une insuffisance de financement de 520 000 francs à la fin de l’année. Parmi les projets d’investissements, Olivier Perruchoud évoque la réfection de l’annexe de la salle de gymnastique, l’aménagement du couvert du Foulon, ou encore la réfection de la route de Fond Villa. 

«Une nouvelle passerelle piétonne sera construite en remplacement du pont qui a dû être démoli en urgence lors de la crue de la Navizence, en juillet 2018. Cet ouvrage servira de liaison, en mobilité douce, depuis le bisse de Riccard pour rejoindre Pfyn-Finges ou les ruines du château de Beauregard», explique Olivier Perruchoud. 

A lire aussi: Orages: l’inondation de la Navizence fait des dégâts importants à Chippis

Deux hectares gelés 

Le président chippillard qui rappelle que la commune a récemment gelé deux hectares de sa zone à bâtir. La démarche doit permettre de réviser le plan de zones communal afin de se mettre en conformité avec la nouvelle loi sur l’aménagement du territoire. «Nos besoins pour les quinze prochaines années sont de 3 hectares. Nous n’aurons rien besoin de dézoner, car notre zone à bâtir non construite actuelle est largement inférieure à cette surface.» 

Votre publicité ici avec IMPACT_medias