Nous sommes en 1813. Placé sous l’occupation française, le Valais doit lever des troupes pour l’empereur Napoléon. Partout dans le canton, on tire au sort les noms de ceux qui devront risquer leur vie sur les champs de bataille européens.
A Vercorin, le jeune Michel Joachim Perruchoud décide de faire passer sa dignité et celle de sa communauté avant ses propres intérêts. Il se désigne volontaire, et part porter les couleurs de la France. Avant de quitter le village, il laisse un message sur une pierre: «Adieu».
Mêler le mythe à la réalité historique
Cette vieille légende est bien connue des Chalaisards. Après avoir traversé les générations et donné lieu à plusieurs écrits, elle refait surface en 2020. Son mythe sera matérialisé à travers le spectacle musical «La pierre de l’adieu», présenté dès le 31 janvier au théâtre Kabaret.