Si l’idée d’organiser un festival à quelque 1600 mètres d’altitude ne les refroidit pas, c’est surtout grâce aux passions brûlantes qui les animent. Celle de la musique, oui, mais aussi celle de la fête. «Il y a un peu plus d’un an, alors que nous étions de sortie avec des amis, nous cherchions un moyen de redynamiser la vie nocturne de Zinal et de ses alentours», glisse le président du comité d’organisation, Lucien Marandola.
Une poignée de mois plus tard, la première édition du 2e plus petit festival du monde (2ppfm) rassemblait plus de 200 participants. «On espère doubler ce chiffre cette année», poursuit l’Anniviard qui se réjouit d’accueillir plus de monde, tout en gardant une petite structure.
Des tribulations sur deux jours
Et, pour ce faire, le comité a opté pour une date supplémentaire. «La soirée de vendredi se veut plus populaire, avec deux...