Les festivités du Toûno ont démarré hier soir sur les hauteurs de Saint-Luc. Voilà cinq ans que la musique donne rendez-vous à la littérature chaque été le temps d’une semaine. Au fil des éditions, l’événement a gagné en envergure. «Cette année, ils seront plus de 50 intervenants, musiciens ou comédiens, à se produire lors du festival, peine à réaliser Michèle Courvoisier, l’une des programmatrices du festival. Elle partage cette tâche avec son compagnon, Claude Darbellay. Elle pour les mots, lui pour les notes.
A deux, ils tentent de trouver des œuvres qui se font écho ou qui se confrontent. «Nous essayons de nous accorder le mieux possible, explique Claude Darbellay. Certaines associations sont des évidences et sinon, nous nous faisons juste confiance.» Hier soir, le festival s’est ouvert sur le thème de l’enfance avec «Pas d’éclairs sans tonnerre» de Jérémie Gindre et «De l’enfance éperdue» de Pierre Voélin, coups de...