«Je suis un bon vivant. Ça se voit, non?» Avant de prendre la pose pour la photo, François Gessler semble décontracté. Il assume ses rondeurs, témoins visibles de son amour pour la bonne chère. «J'ai un côté rabelaisien.» Sous l'objectif de la photographe, le président de GastroValais s'amuse, prouvant qu'il ne se prend pas au sérieux. «J'y arrive de plus en plus avec les années. Plus le temps passe, mieux je m'apprécie.» Difficile d'imaginer que, jeune, il était &laqu...
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