C’est leur année. L’année des femmes, de leur grève, de leur grogne, de leurs combats. L’année des élections fédérales. Et si c’était aussi leur tour? D’aller à Berne, d’être élues, de prendre une place?
On le répète depuis ce printemps. Depuis que la PDC Géraldine Marchand-Balet a décidé de ne pas rempiler après une législature sous la Coupole et après que Viola Amherd a été appelée à gravir la marche vers le Conseil fédéral: le Valais risque fort de ne plus compter de conseillère nationale à la fin de cette année.
En effet, même si elles sont 90 candidates valaisannes sur les listes électorales – contre 45 il y a quatre ans – les femmes ne font pas, au premier abord, partie des papables les plus en vue pour gagner les élections à la Chambre du peuple.
«Oui, j’y crois»
Les médias, comme les partis, aiment fomenter de croustillants duels...