Alors que la canicule de cet été est encore dans tous les esprits, une étude de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich, publiée aujourd’hui dans la revue britannique de référence «Nature», révèle que pendant les années sèches à l’échelle planétaire, comme en 2003 ou 2015, la concentration de dioxyde de carbone (CO) dans l’atmosphère augmente plus rapidement que lors des années normales.
Le phénomène est d’autant plus préoccupant qu’il pourrait aggraver le changement climatique et même induire un cercle vicieux de la sécheresse. Les explications du Vaudois Vincent Humphrey, chercheur à l’EPF ...