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Lisa Mirra a rempli sa mission

02 sept. 2016, 23:26
/ Màj. le 03 sept. 2016 à 00:01
Lisa Bosia Mirra, Praesidentin der Vereinigung Firdaus, links, und Anna Brambilla, Rechtsanwaeltin der Vereinigung juristischer Studien fuer die Einwanderung (ASGI), rechts, sprechen anlaesslich einer Fluechtlingskrisensitzung zur Rueckfuehrung von Migranten nach Italien, am Mittwoch, 31. August 2016, in Chiasso. Italienische und Tessiner Nichtregierungsorganisationen sowie Amnesty International haben sich am Mittwoch besorgt gezeigt ueber die Situation von unbegleiteten Minderjaehrigen an der Schweizer Suedgrenze. (KEYSTONE/Ti-Press/Benedetto Galli) SCHWEIZ CHIASSO FLUECHTLINGSKRISE NGO AMNESTY INTERNATIONAL

Après son interpellation jeudi matin au poste frontière de Stabio (It), la députée socialiste tessinoise Lisa Bosia Mirra reste sous enquête. Le Ministère public tessinois soupçonne celle qui est aussi la fondatrice de l’ONG Firdaus d’avoir fait entrer en Suisse quatre migrants mineurs africains avec l’aide d’un homme qui les a convoyés dans une fourgonnette. Il a été libéré hier, tandis que la parlementaire tessinoise a pu rentrer chez elle jeudi.

«Mme Bosia Mirra est en paix avec sa conscience», répond Pascal del Prete, avocat. «Elle a aidé des migrants dans les camps de réfugiés en Grèce et à Côme qui se trouvaient dans des conditions de survie inhumaines. Elle en a été profondément troublée par ce qu’elle a vu. Aider les réfugiés, c’est sa mission. Elle est choquée par les mineurs dont certains portaient des traces de torture.»

Vu le «silenzio stampa» (pas d’information à la presse) ordonné par...

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