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«Le premier tour ne sera pas une primaire de gauche»

Esther Waeber-Kalbermatten, femme, socialiste et Haut-Valaisanne, cumule trois raisons de se faire réélire. Elle doit néanmoins affronter des résistances tant à gauche qu’à droite...

22 févr. 2017, 23:28 / Màj. le 23 févr. 2017 à 00:01
Sion - 16 février 2017 - Portrait avec cadre d'Esther Waeber-Kalbermatten, Conseillère d'Etat. (Le Nouvelliste/ Héloïse MARET)

Quel est votre principal adversaire dans cette campagne?

Je n’ai pas d’adversaires politiques car mon objectif est de convaincre et d’être dans les cinq premiers au premier tour. Je souhaite qu’une femme continue de siéger au gouvernement.

Vous craignez davantage l’UDC Sigrid Fischer-Willa ou votre colistier Stéphane Rossini?

La crainte est mauvaise conseillère.

Le premier tour sera-t-il une vraie primaire de gauche ou les camarades s’abstiendront-ils de tracer?

Ce n’est pas une primaire. Les résultats du premier tour seront toutefois importants. Ce n’est pas la coutume de la gauche de tracer les camarades. Nous avons eu un congrès unitaire qui s’est prononcé en faveur d’une liste ouverte pour mobiliser les deux parties du canton.

Dans la grande interview du «Nouvelliste», Rossini estime partir avec 15 000 voix de retard sur vous dans le Haut-Valais. Certains ont interprété ses propos comme un appel aux camarades du Valais romand de vous tracer...

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