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La protection de Hollande en question

Le Groupe de sécurité de la présidence est pointé du doigt.

20 janv. 2014, 00:01
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Photographié en pleine rue et sur le vif, alors qu'il sortait incognito d'un immeuble pour enfourcher un scooter. Derrière l'onde de choc politique qu'il a provoqué, le scoop du magazine "Closer" soulève de légitimes interrogations sur les conditions de sécurité qui entourent François Hollande. Depuis une semaine, les experts se succèdent en se demandant ce qui se serait passé si l'objectif de l'appareil photo qui a piégé le président de la République à un moment très privé avait été la lunette d'un fusil de précision. Alors que les Cassandre brandissent le scénario du pire, le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) danse sur un volcan.

Chargé de protéger l'intégrité physique, mais aussi l'image du chef de l'Etat, ce service naviguant dans les eaux du secret défense compte une soixantaine d'agents triés sur le volet, trente policiers et trente gendarmes dont la plupart émanent de la force...

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