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La capitale de Centrafrique en proie à la folie des milices

François Hollande s'est recueilli, hier, devant les cercueils des deux parachutistes français tués quelques heures auparavant.

11 déc. 2013, 00:01
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Sur le retour d'Afrique du Sud, François Hollande a fait, hier soir, une escale à Bangui, en Centrafrique, au beau milieu d'une situation qui se détériore à grande vitesse. Le président français s'est recueilli dès son arrivée devant les cercueils des deux paras tués dans la nuit de lundi à hier. "L'émotion est très grande, mais la mission se poursuit", a-t-il dit. "Elle est dangereuse, on le sait, on le savait. Mais elle est nécessaire pour éviter ce qui pourrait être un massacre."

Pour des raisons de temps et de sécurité, il ne devait pas quitter l'aéroport de M'Poko, à la fois base militaire de l'opération "Sangaris", camp de réfugiés et dernier lien entre Bangui et le monde extérieur. Mais la zone de l'aéroport offre un bon résumé du casse-tête que la France doit tenter de résoudre. Le terminal de M'Poko et le camp militaire voisin abritent les troupes françaises...

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