«Que fabrique l’engin Jacko and The Washmachine?» lance Philippe Prohom, intervenant scénique durant le workshop de mardi matin, lui-même auteur, compositeur et interprète de son propre projet sobrement nommé «Prohom». Après un moment de réflexion, les cinq membres du groupe valaisan tombent d’accord: leur musique est une machine à fabriquer des Monsieurs et Madames. Rappelez-vous, les petits personnages littéraires colorés qui vivent chacun leur lot d’émotion. La réponse conceptuelle interpelle, mais colle à la perfection à l’ADN de Jacko and the Washmachine. Car de ses morceaux jaillissent mille molécules excentriques, rassemblées dans la même information génétique. Une essence rock francophone de marins en fuite, de fêtards éternels ou d’artistes en quête de liberté.
Résidence de trois jours
Accueillis au chalet Sofia à Champéry pour trois jours de résidence, dans le cadre du festival transfrontalier Rock the Pistes, Jacko and The Washmachine ont répété leur set sous les yeux attentifs...