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Brutus, leader maximus

Curieux mix des films de Zidi et Chabat, «Astérix aux Jeux olympiques» est petit mais Benoît Poelvoorde est grand.

30 janv. 2008, 05:02

Iznogoud, le sournois, n'a qu'une idée en tête, devenir calife à la place du calife. Eh bien Brutus, c'est pareil, sauf que lui ambitionne de devenir César à la place de César. Et que César est son père, et qu'à son âge ça commence à le barber sérieusement de lui lancer des «Ave papa» à tout bout de champ. «Ave moi», ça le fait quand même plus, non? Alors le fourbe complote, imaginant mille et un stratagèmes délirants pour tuer le père. Benoît Poelvoorde donne à Brutus toute sa folie, sa force comique - ce casting est LA bonne idée du film, l'autre étant de glisser Alain Delon sous les lauriers de César.

Le reste de l'intrigue, malheureusement très éloigné de celle de la BD originale, on s'en fiche un peu. Disons quand même que le Gaulois Alafolix (fade Stéphane Rousseau) ne pourra épouser la princesse de ses rêves (Vanessa...

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