A peine ouvert à Martigny, le refuge «La Bouche qui rit» craint déjà pour sa survie. «Les caisses sont vides et les factures commencent à s’entasser», reconnaît Nicolas Flamarion. Cet amoureux de la nature et des bêtes a créé avec sa famille «un espace de vie unique» pour pouvoir sauver toutes sortes d’animaux maltraités ou destinés à la boucherie. «Jeune, je devais passer devant un abattoir pour me rendre de Bramois au collège des Creusets. Un jour, j’y ai vu un cheval dans une benne – les quatre fers en l’air – et je me suis alors juré qu’un jour je ferais quelque chose pour éviter ça…»
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Ouvert cet été pour héberger des bêtes maltraitées ou vouées à la boucherie, le refuge «La Bouche qui rit» est déjà menacé de fermeture. Faute de soutiens financiers suffisants.
Martigny, le 16 novembre 2015
La bouche qui rit, refuge pour chevaux.
De gauche a droite: Wendy Privet, Nicolas Flamarion et Sandra Flamarion
Sacha Bittel/Le Nouvelliste
SACHA BITTEL
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