Un saut dans le temps. Les souvenirs datent d’il y a quarante ans et pourtant, c’est comme si c’était hier. Dans les années 70, le quartier de Tourbillon, niché entre les rues de la Dixence, de Sainte-Marguerite et l’avenue de Tourbillon, vibrait au son des rires d’enfants.
Il est aujourd’hui voué à la démolition. L’ensemble des bâtiments sera rasé dès l’hiver avant la construction d’un nouveau complexe.
En s’y baladant dernièrement, Edgar Kron a plongé dans son enfance. «La démolition a été l’élément déclencheur. Je ne suis pas contre, bien sûr, il faut suivre l’évolution de la société, mais je...