Votre nom de scène, El Búho, signifie «le hibou» en espagnol. Etes-vous un enfant de la nuit?
Je crois qu’à partir du moment où vous faites de la musique électronique, vous devenez un enfant de la nuit. Pour moi, le hibou est une créature mystérieuse, spirituelle, qui va de pair avec l’idée d’un folklore, d’une légende et se couple bien au monde de la nuit.
Ce nom et vos compositions nous amènent à la nature. Pourquoi est-elle capitale pour vous?
Elle est une part importante de mon identité, depuis toujours. J’ai grandi dans une petite ville dans les collines anglaises. J’ai aussi travaillé pour Greenpeace durant les huit dernières années. La musique est souvent un reflet de l’identité. Et elle peut être puissante pour évoquer la relation entre l’humanité et la nature, pour porter un message.
Engagé pour le climat, vous avez justement la conviction qu’un DJ peut être le...