Il y a un an, il frémissait à l’idée de présenter sa première création en solo. Le Théâtre du Raccot à Monthey ouvrait ses portes à «12, rue du Paradis» et Lionel Fournier vivait un baptême du feu mémorable.
Jamais rejouée depuis, la confession théâtrale inspirée par un hôtel désaffecté du hameau du Giétroz, non loin de Finhaut, vivra une seconde vie sur le petit écran. De fait, le spectacle du comédien nendard a été retenu parmi les cinq œuvres lauréates de l’appel à projets 2020 «De la scène à l’écran».
Vitrine de la scène romande
Il s’agit de la deuxième saison de ce programme porté par l’Unité culture de la RTS, la Société suisse des auteurs, la fondation culturelle Suissimage, l’Association romande de la production audiovisuelle (AROPA) et la Fondation Leenaards. Enjeu: réunir les répertoires du spectacle vivant et de l’audiovisuel pour faire naître de nouvelles formes et refléter...