La silhouette est familière. Même de dos. Catogan soigné, épaules larges, présence granitique. Et quand il se retourne, on est presque surpris de voir un large sourire barrer son visage buriné. Si la scène avait appartenu à l’un des films ou à l’une des séries qui remplissent son curriculum pléthorique, on serait déjà six pieds sous terre. Car il est vrai qu’on ne prend pas impunément «Machete» à revers. D’autres ont été coupés en fine...
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