C’est ce que l’on appelle une beauté éphémère ! Du haut de ses 98 centimètres, «la belle qui pue» comme la qualifie ses propriétaires, Suzanne et Jean-Claude in-Albon, fleurit, s’ouvre et flétrit en l’espace de quatre petits jours.
Comme son surnom peut le laisser présager, la plante est aussi belle qu’odorante. Au point d’interdire parfois durant quelques jours l’accès à la terrasse de la maison familiale. Plantée en 1998 et fruit d’un oignon dont le nom a échappé au couple depuis, elle n’a donné de fleur qu’à trois reprises. Dont la première en 2007.
Si d’aventure un amateur de belles plantes devait connaître le petit nom de cette plante, ses propriétaires en seraient ravis.
Selon plusieurs de nos lecteurs que nous remercions, la plante serait un serpentaire.