Il faudrait déjà avoir couru un marathon pour jauger à quel kilomètre effort on se retrouve aujourd’hui. Question ressenti, on pourrait penser en avoir avalés 40 sur 42, mais les annonces des autorités laissent plutôt penser qu’on vient de passer la barre des 30. Le plus dur et – quand même assez long – est devant nous.
Passer la ligne d’arrivée, se prendre dans les bras et pleurer de joie, c’est pour la fin du printemps et pourtant, là beaucoup d’entre nous ont déjà envie de pleurer et d’abandonner. Surtout qu’on avait l’imp...