Trente jours. C’est le délai pour faire opposition lors d’une mise à l’enquête. Encore faut-il en être informé, lire le «Bulletin officiel» chaque semaine, connaître le nom des rues de son quartier et identifier les parcelles. C’est un travail fastidieux mais nécessaire pour les propriétaires qui souhaitent éviter de voir pousser des immeubles devant leur jardin.
Plus précis que les annonces officielles
Le fondateur de PilierPublic.com, Guilhem Tardy, connaît bien cette situation. «L’administration vaudoise offre un service qui ne fonctionne pas. Le mien est performant et précis pour ne pas rater d’enquête publique», affirme cet ingénieur EPFL.
En quelques clics, l’utilisateur active une alarme paramétrée selon des mots clés et géolocalisée dans un rayon autour d’une adresse. Le système recueille automatiquement toutes les informations dans les bases de données des administrations cantonales. Le client reçoit un e-mail lorsqu’un projet est mis à l’enquête.
PilierPublic est plus précis que les...