L’histoire valaisanne n’a jamais été autant mise en valeur qu’en cette année du bicentenaire de l’entrée du Valais dans la Confédération. Et pourtant, l’enseignement de cette branche ressemblerait de plus en plus au parent pauvre de l’enseignement.
C’est le constat dressé samedi à l’occasion du centenaire de la Société d’histoire du Valais romand (SHVR), lors d’une table ronde organisée à Monthey.
Moins d’histoire en classe
Pour démontrer ce pas en retrait de l’histoire, la spécialiste Véronique Borgeat-Pignat a donné deux chiffres. «Au cycle d’orientation, l’histoire se partage trois heures de c...