«C'était mon rayon de soleil et on me l'a éteint!» Carmen B., habitante du village de Saint-Léonard, accuse le coup. Sa chienne est morte empoisonnée en fin d'année passée. «Au retour d'une promenade, ma chienne est soudainement devenue très malade. Nous sommes immédiatement partis chez le vétérinaire mais c'était déjà trop tard, l'animal n'a pas survécu». Quelques mois plus tôt, Beat Moll, un autre Léonardin, subissait la même mésaventure: «J'ai eu de la chance. J'allais partir de chez moi lorsque je me suis rendu compte que mon labrador «Dexter» bavait et qu'il était très agité. Une fois au cabinet, le vétérinaire m'a dit que le pronostic de survie était faible, heureusement, mon chien est solide et il a pu s'en tirer.»
Tout le monde n'a pas eu cette chance. Un autre propriétaire, qui préfère rester anonyme, a perdu son chien de chasse toujours dans les mêmes circonstances. Pour le maître...