PHILIPPE BARRAUD journaliste
Le Préposé fédéral à la protection des données et à la transparence (sic!) déteste la transparence. Il aime la censure, le flou, l'anonyme, le secret, le caché. En cela, il est parfaitement politiquement correct, dans une Suisse où la libre circulation de l'information et des images est perçue comme une menace.
Le gardien de notre intimité, Hanspeter Thür, est donc parti en croisade cet été contre Google et son projet Street View en Suisse, qui permet aux internautes de naviguer visuellement dans les rues de nombreuses villes du monde, et peut-être de Suisse demain s...