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Présidence de l’USS: «Ce n’est pas qu’une question de largeur d’épaules, mais surtout de travail» assure Mathias Reynard

Le conseiller national socialiste voit grand. A 31 ans seulement, Mathias Reynard est dans le carré final consulté par le comité de l’Union syndicale suisse en quête d’un nouveau président. Le Saviésan explique ce qui le pousse à briguer la fonction et ce qui pourrait l’en dissuader.

01 sept. 2018, 05:30
Mathias Reynard fait un tour de piste remarqué dans la course à la présidence de l'USS.

Mathias Reynard, ça fait longtemps que vous songez à devenir président de l’USS, le matin en vous rasant?
Honnêtement, pas du tout. Je dois dire que même à l’annonce de la retraite de Paul Rechsteiner, l’idée ne m’est pas venue à l’esprit une seule seconde de postuler pour lui succéder. C’est la presse syndicale qui a cité, la première, mon nom parmi les potentiels papables courant juin.

Donc on est venu vous chercher?
Oui, c’est un comité restreint de l’USS qui a été chargé d’approcher des candidats et je me suis retrouvé parmi les six personnes qui ont été approchées.

La pression est assez forte dans cette course à la présidence. Certains ont préféré renoncer."

Cela a été une grosse surprise?
Une grosse surprise et surtout une belle reconnaissance, notamment de mon travail depuis cinq ans à la présidence de l’Union syndicale valaisanne. En fouillant un peu dans mes archives,...

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