Agressions, burn out, peur et même prise d'otage: le ciel n'a cessé de s'obscurcir au-dessus de Pramont ces derniers mois. La faute à un effectif d'encadrants largement insuffisant avec ses 29 postes à plein temps. Une situation qualifiée de «catastrophique» par le directeur Patrice Mabillard mais qui, heureusement, ne devrait bientôt plus être qu'un mauvais souvenir.
Et l'éclaircie tant attendue est venue du Parlement valaisan. Le 11 décembre dernier, le Grand Conseil a en effet accepté un amendement de la Commission de justice - et plus particulièrement de sa sous-commission naturalisations, recours en grâce et établissements pénitentiaires - demandant «d'adapter l'effectif du personnel aux réquisits de l'Office fédéral de la justice.» Contre toute attente et contre le préavis négatif tant de la Commission des finances que du Conseil d'Etat.
6,5 postes en plus!
Grâce à la force de persuasion de la présidente de la sous-commission Anne-Marie Sauthier et à une...