«La gifle est brutale et l’humiliation totale.» Dans «Le côté obscur de la lumière» qui paraît ce mercredi, Oskar Freysinger met, pour la première fois, des mots sur son éjection du Conseil d’Etat valaisan en mars 2017.
Pour expliquer sa défaite retentissante, l’ancien ministre UDC accuse ses ennemis – «le mot adversaires n’est pas assez fort» – politiques, ainsi que les médias. Le caractère triomphal de son élection de 2013 l’aurait en réalité desservi: «Il était prévisible que le système se vengerait à la première occasion.»
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Oskar Freysinger promettait un récit qui ne plairait pas à tout le monde pour son dix-septième ouvrage. Les principaux concernés ne sont pas cités nommément, mais facilement identifiables. Christophe Darbellay subit les attaques – y compris physiques – les plus acerbes....