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Les médecins au parloir

La Société médicale du Valais veut dire son mot dans l'application de la loi levant le secret médical pour les détenus dangereux.

17 mars 2015, 00:01
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En Valais, les professionnels de la santé devront obligatoirement signaler à la justice les doutes sécuritaires qu'ils ont à propos d'un détenu dangereux dont ils ont la charge. Ainsi en a décidé jeudi le Grand conseil. "Le Nouvelliste" a voulu savoir comment réagissait le corps médical en interrogeant Monique Lehky-Hagen, présidente de la Société médicale du Valais, et Eric Bonvin, directeur de l'Hôpital du Valais. Car si l'on ne parle pas nommément dans le texte de loi de levée du secret médical, c'est bien de cela qu'il s'agit, bien que des concessions aient été faites grâce à un compromis.

En effet, devant la levée de boucliers du corps médical qui souhaitait qu'on se contente d'un simple droit de signalement, non contraignant, le Parlement a fait un petit pas dans leur direction. Seuls le médecin psychiatre et le psychologue seront tenus de signaler des faits graves. Et ils le feront à...

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