Aujourd'hui, le Valais compte un logopédiste pour mille six cents enfants alors qu'il en faudrait un pour mille selon la norme suisse. "Nous sommes déjà sous-dotés et l'Etat veut encore couper dans le financement de la logopédie. Ce sont les enfants qui vont payer", s'enflamme Romaine Flückiger Pagliotti, vice-présidente de la section valaisanne de l'Association romande des logopédistes diplômés.
200 000 francs d'enjeu
Les professionnels sont sortis de leur silence depuis plusieurs mois pour alerter la population sur les diminutions financières envisagées par l'Etat. Leur nouvelle bataille s...