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Le Sismics à reculons

08 juin 2012, 00:01
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Jean-Yves Gabbud

rédacteur en chef adjoint

On n'entre pas dans l'univers du Sismics comme dans le monde de la BD "classique", comme un Titeuf ou un Manu Larcenet. Ce n'est pas pour rien qu'il y a infiniment moins de visiteurs au Sismics qu'au défunt Festival de la BD.

La découverte des expos du Sismics est un peu déstabilisante. Le visiteur est happé dans des mondes très différents les uns des autres, souvent inhabituels et qui changent de salle en salle.

Le monde d'Hatman et de ses "Valaisans de l'espace" se laisse adopter facilement. Pour le reste, un petit effort et une période d'adaptation est nécessaire. Une fois celle-ci passée, la démarche est enrichissante. Passionnante parfois.

Par exemple, la Québéquoise Sophie Moisan réalise des peintures construites comme des vitraux. Cette technique donne un aspect quasi sacré au regard naïf qu'elle porte sur la vie du père du sociologue fulliérain Gabriel Bender....

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