Jean-Yves Gabbud
rédacteur en chef adjoint
On n'entre pas dans l'univers du Sismics comme dans le monde de la BD "classique", comme un Titeuf ou un Manu Larcenet. Ce n'est pas pour rien qu'il y a infiniment moins de visiteurs au Sismics qu'au défunt Festival de la BD.
La découverte des expos du Sismics est un peu déstabilisante. Le visiteur est happé dans des mondes très différents les uns des autres, souvent inhabituels et qui changent de salle en salle.
Le monde d'Hatman et de ses "Valaisans de l'espace" se laisse adopter facilement. Pour le reste, un petit effort et une période d'adapta...