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Le côté obscur de la force hydraulique

Ils oeuvrent dans l'ombre au bon fonctionnement des ouvrages hydroélectriques. Découverte sous la Dent-Blanche.

10 août 2010, 05:04

Ni vertige ni claustrophobie. Cette définition par la négative illustre bien les qualités requises pour travailler à la maintenance des ouvrages hydroélectriques. Et plus précisément à l'entretien du réseau de collecte des eaux qui sont acheminées dans les barrages. Un métier étonnant.

Martial Pralong est l'un de ces travailleurs qui cumulent les performances de la marmotte et du chamois, à la fois à l'aise dans les galeries et le pied montagnard. La cinquantaine, dont vingt ans de métier à Grande Dixence puis à Hydro-Exploitation, l'homme est responsable des prises d'eau du val d'Hérens. Un job qui l'amène à «courir les becquets» d'avril à octobre en compagnie de ses trois équipiers. «Le travail d'une journée est varié», s'enthousiasme-t-il d'une voix forte. Une longue journée où l'on côtoie les extrêmes. Galeries et précipices, obscurité et lumières, humidité et sécheresse. Avec un but: capter de l'eau pour produire de l'électricité.

C'est Tinguely

Prenons...

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