Ils avaient commencé fort, les treize membres de la commission d'enquête parlementaire (CEP) concernant l'Hôpital du Valais. Une prise de position publique pour demander à Esther Waeber Kalbermatten de casser la décision de licenciement de l'hôpital concernant deux anesthésistes.
En vain. "Nous ne regrettons pas cette démarche, car elle avait pour but de donner un coup de pied dans la fourmilière", affirme son président Xavier Moret. Depuis, silence radio, à tel point que la population se demande ce que fait la commission. "Les gens doivent comprendre que nous n'allons pas intervenir pour chaque actualité liée à l'Hôpital du Valais." Comme celle de la semaine dernière au Grand Conseil qui demandait que les 400 millions d'investissements soient gelés en attendant les conclusions de la CEP. "Ac cepter ce postulat aurait été idiot. Et ce serait nous accorder trop d'importance."
Conclusions en fin d'année
Si aujourd'hui, la commission a réalisé 40% de...