«Prends un cierge, Cina, et priez Messieurs les conseillers d'Etat!», conseille le député radical François Gianadda. Pourquoi prier? Pour s'éviter les conséquences désastreuses, au regard de la Lex Koller, que pourrait avoir la gestion de la vente aux étrangers dans le canton.
Le scénario catastrophe
François Gianadda évoque un scénario catastrophe qui pourrait se produire. Il raconte l'histoire suivante: «Un promoteur du Haut-Plateau fait défaut, entraînant d'autres corps de métier dans la tourmente. Des acquéreurs étrangers, non encore inscrits au Registre foncier, car dans l'attente d'une autorisation de vente aux étrangers, sont les principaux lésés. Devant des faillites à répétition, certains acquéreurs étrangers prennent l'initiative d'attaquer en justice l'Etat du Valais, pour partie responsable de la situation.» Responsable d'avoir laissé les délais d'attente dépasser les trois ans.
Explosion des dossiers en attente
Comme l'a décrit le député radical Christophe Perruchoud dans une résolution déposée en début d'année, la liste d'attente...