Roberto Schmidt craint que les candidats PDC reculent au second tour. Dans ses cauchemars, il les voit passer des trois premiers rangs du premier tour aux places 4-5-6. Bien entendu, ce discours contient un aspect électoral; c’est un appel à ne pas relâcher l’effort. Mais la crainte, même petite, est bien réelle.
Une marge confortable
Le PDC qui a obtenu 15 000 voix d’avance le 5 mars sur ses plus proches poursuivants a de la marge. Elle paraît même énorme. Le parti pourrait toutefois être menacé en cas de démobilisation de ses troupes et/ou si les électeurs démocrates-chréti...