«Une partie de moi est partie avec lui.» Trois ans après la mort de l’un de ses fils, Imad – la première victime du tueur Mohamed Merah à Toulouse en mars 2012, Latifa Ibn Ziaten souffre encore. «La douleur est là en permanence.»
Pourtant, cette mère de 55 ans, de religion musulmane, refuse de tomber dans la haine envers l’assassin de son enfant. «C’est un sentiment que je ne connais pas. Je n’ai pas grandi dans une famille où on a appris la haine. Au contraire, on a appris le partage et le pardon», confie-t-elle au bout du fil, quelques jours avant la conférence qu’elle donnera à Saint-Maurice le dimanche 25 octobre lors d'un week-end interreligieux.
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