"Je ne fais pas ce travail pour punir les gens. Je les incite à faire mieux en matière de santé et de sécurité dans leur entreprise, de manière à limiter les coûts directs et indirects de l'absentéisme."
Stéphane Glassey, chef de l'inspection du travail pour l'Etat du Valais, tient à se débarrasser de l'image répressive que son métier véhicule.
Un manque de visibilité appuyé par un constat éloquent: 2,7 postes pour 19 211 entreprises et 101 234 travailleurs, soit l'un des rapports les plus faibles de Suisse.
En comparaison, le canton de Neuchâtel compte le double d'inspecteurs du travail pou...