«On ne peut pas dire que le slogan soit très actuel. En mai 68 à Paris, quelqu'un avait écrit: «Dieu est mort»; signé Nietzsche. Juste en dessous, un autre répliquait: «Nietzsche est mort»; signé Dieu!»
Comme nombre d'Agaunois hier matin, Monseigneur Joseph Roduit n'a pas manqué de remarquer les trois mots peints durant la nuit sur la falaise surplombant la Royale Abbaye, plus ancien monastère de la chrétienté. «C'était vers 9 heures, j'ai levé la tête en marchant dans la rue et ai vu ce graffiti.» Si l'abbé territorial n'en fait pas un drame, il précise: «On ne peut pas laisser faire n'import...