Votre publicité ici avec IMPACT_medias

Jean-Pierre Pralong, un directeur rassembleur

Venu du milieu touristique et du management de projets, le sédunois prend les rênes de l’association Culture Valais le 1er avril. Prise de température.

23 mars 2016, 21:48
/ Màj. le 24 mars 2016 à 06:30
Jean-Pierre Pralong dans le décor de la Médiathèque Valais à Sion, là où Culture Valais a ses quartiers.

Prendre ses fonctions un 1er avril. Voilà qui peut sembler insolite. Mais même s’il affiche une agréable décontraction dans le contact, Jean-Pierre Pralong envisage sa nouvelle fonction de directeur de l’association Culture Valais avec le plus grand sérieux. A l’aube de la quarantaine, ce sédunois d’origine licencié en lettres et titulaire d’un doctorat en Géosciences et Environnement ainsi que d’un diplôme de management de projet peut se prévaloir d’une belle expérience professionnelle. Il fut ainsi directeur de Nyon Région Tourisme durant deux ans, et exerce, pour une semaine encore, la fonction de Directeur adjoint de la Fondation pour le développement durable des régions de montagne (FFDM), avec notamment la charge de l’Agenda 21 du canton du Valais. A la tête de Culture Valais, il compte faire valoir ses qualités de rassembleur. Interview.

Jean-Pierre Pralong, provenant du milieu touristique plutôt que culturel, comment envisagez-vous votre nouvelle fonction?
Je dois dire que, même si je ne suis pas un spécialiste du domaine, la culture est une passion personnelle. Dans l’offre d’emploi de Culture Valais, le profil décrit n’était pas forcément celui d’un spécialiste de la culture. J’y ai vu l’opportunité d’exercer une activité qui serait la synthèse de tout ce que j’ai pu accomplir et de mes goûts personnels. Et durant mon parcours, j’ai souvent travaillé en lien étroit avec les acteurs culturels. A Nyon, nous avions créé un pool marketing avec les quatre principaux festivals, Paléo, Caribana, le Festival des Arts Vivants et Visions du Réel. La culture est un produit touristique clair. Dans le cadre de ma fonction actuelle, j’ai encore réalisé l’audit de la Triennale d’art contemporain deux années de suite, sous l’angle de la communication; à noter que la FDDM a réalisé l’audit de Culture Valais, sans savoir qu’un poste se créerait plus tard.

Retrouvez cette interview dans son intégralité dans nos éditions papier et numérique de ce jeudi 24 mars.

Votre publicité ici avec IMPACT_medias