Il s’en est vendu un peu plus de la moitié. Une soixantaine de pièces sur la centaine produite à la fin de l’année dernière. La rugosité alémanique de l’appellation Dr’Jope ne se retrouve pourtant pas dans le précieux tissu. Et pourtant, sur la totalité des vestes produites en automne dernier pour célébrer l’identité cantonale, seules dix des cinquante modèles féminins ont trouvé preneuses, alors que la totalité des cinquante pièces hommes sont parties.
Plus en vue dans le Haut
Gabriela Schnyder, directrice de l’école de couture qui a créé le vêtement, ne s’explique pas vraiment ce désamour féminin. «Même si c’est vrai que le modèle femme demeure assez masculin.» Si quelques représentantes du monde touristique ont pourtant décidé de porter le Valais sur leurs épaules (la démarche a été initiée par Valais/Wallis Promotion), le succès commercial du Dr’ Jope reste donc à confirmer dans la population en général.
S’il est...