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La qualité n’est pas forcément plus chère

Selon le «Steve Jobs» écolo, Gunter Pauli, il faudrait fixer les prix des aliments à la quantité de nutriments plutôt qu’au kilo.

22 sept. 2018, 00:01
Emily Billings, 8, relaxes on her five-month-old Yorkshire pig Cookie at the Oxford County Fair Wednesday, Sept. 13, 2006, in Oxford, Maine. The pig will be put up for sale during the Youth Animal Auction Friday. The fair continues through Saturday with a variety of activities and events. (KEYSTONE/AP Photo/Lewiston Sun Journal, Russ Dillingham)   USA PIG IN A PEN

Gunter Pauli, 62 ans et surnommé le «Steve Jobs du développement durable», conseille régulièrement des politiciens et des industriels. Il est convié la semaine prochaine chez Novartis. Chantre de l’économie circulaire (qui valorise les déchets), il a lui-même créé une dizaine d’entreprises et mis sur pied la fondation d’initiatives et de recherche Zéro émission, mettant en réseau 3000 chercheurs.

L’entrepreneur belge, établi au Japon et en Afrique du Sud, est de passage en Suisse. Jeudi, le charismatique père de six enfants était l’invité de l’école Pré Fleuri, à Villars-sur-Ollon (VD). Gunter Pauli maîtrise l’art de la communication. Il est, aujourd’hui même, à l’affiche du Zermatt Summit, raout destiné aux leaders économiques. Et il s’adressera lundi aux enseignants vaudois lors d’une journée de formation continue, avant une conférence publique.*

La Suisse se prononce demain sur une l’initiative qui veut favoriser les aliments respectueux de l’environnement et des animaux. Mais une...

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