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Le Lötschberg, une urgence?

Le financement du 2e tube du Lötschberg peut-il faire partie de la stratégie 2035 d’aménagement ferroviaire alors que le Conseil fédéral n’en veut pas? Le lobby des «pro» avance ses arguments.

17 oct. 2017, 23:44
/ Màj. le 18 oct. 2017 à 00:01
View onto the Loetschberg Base Tunnel's southern ramp, pictured from a BLS cargo train with an engine of the type Lok Re 465 014-9 on the journey from Brig, Canton of Valais, to Kandersteg, Canton of Berne, Switzerland, on May 16, 2017. (KEYSTONE/Christian Beutler)  



Die Loetschberg-Suedrampe, aufgenommen am 16. Mai 2017 von einem BLS Gueterzug des Typs Lok Re 465 014-9 aus auf dem Weg von Brig nach Kandersteg. (KEYSTONE/Christian Beutler)tujnel SCHWEIZ BAHN BLS

Fin septembre, le collège gouvernemental présentait sa stratégie d’aménagement 2035 de l’infrastructure ferroviaire du pays. Avec deux variantes, l’une à 7 milliards de francs, l’autre à 11,5 milliards. Mais toutes deux sans l’extension du tunnel de base du Lötschberg.

Pour rappel, un seul des deux tubes de ce tunnel ferroviaire inauguré en 2007 entre Frutigen (Berne) et Brigue est à ce jour entièrement utilisable. Enjeu du dossier: l’équipement, devisé à 920 millions de francs, de 14 kilomètres du second tube afin de permettre le doublement de la capacité de la ligne. Une ligne «complètement débordée», soulignait Jacques Melly, conseiller d’Etat chargé des transports, dans «Le Nouvelliste» du 30 septembre dernier.

La procédure de consultation court jusqu’à mi-janvier 2018. Si les cantons auront leur avis à donner, c’est au niveau des Chambres fédérales que l’opération séduction des défenseurs du Lötschberg devra avoir lieu.

Présidente du Comité Lötschberg, la conseillère nationale...

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