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La libéro libérée

17 mars 2017, 23:07 / Màj. le 18 mars 2017 à 00:01
Volleyball

Tabea Dalliard 



Neuchatel, le 13 janvier 2016

Photo: David Marchontabea Dalliard VOLLEYBALL

Tabea Dalliard est matinale malgré un agenda qui la dispense de cours. Il est huit heures et demie ce vendredi lorsqu’elle franchit la porte de son fitness qui surplombe la ville de Neuchâtel et les eaux calmes de son lac qui se réveille gentiment. «C’est une grosse journée, j’ai encore deux entraînements avec mon équipe», raconte, plein d’enthousiasme, la jeune internationale suisse de volleyball dans un français mélodieux à l’accent mélangeant les teints haut-valaisans et jurassiens.

Si elle est exilée à Neuchâtel depuis trois ans pour le compte de son sport et de ses études, la joueuse du Viteos NUC de 22 ans revendique son côté «100% valaisan», surtout lorsque la grisaille hivernale du plateau lui plombe parfois le moral. «On a l’impression de vivre dans une bulle, alors que ma maman me dit qu’il fait beau à la maison. Du coup avec l’équipe, on prend de l’altitude...

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