Deux sessions pour faire ses armes, c’est mieux que rien ou au contraire juste un plaisir auquel on goûte sans savoir s’il se poursuivra?
Deux sessions et une session extraordinaire, c’est déjà pour moi une chance énorme d’être là. J’ai toujours pensé que c’était un avantage d’entrer en cours de législature, j’en suis désormais certain. Je me suis déjà fait beaucoup de contacts à Berne et en Valais, je suis extrêmement bien reçu, notamment dans le Valais romand. On me connaissait déjà, mais quand on arrive comme conseiller nationa...