Les gens ordinaires ont tous – ou presque – vécu une histoire extraordinaire. Les Valaisannes et les Valaisans ne font pas exception.
Marie m’a raconté une nuit tragique, une nuit de novembre glaciale où un inconnu a frappé à sa porte.
A 4 heures du matin, dans l’entre-saison, faut-il ouvrir quand on est seule dans un immeuble essentiellement habité par des touristes? Qu’est-ce qu’il lui veut ce gars? Il a une voix bizarre, un accent du Nord. Et Marie est si bien au fond de son lit.
L’appel se fait pressant, Marie se lève, ouvre la port...